Chroniques Oblivion : Bloody Roar

Chroniques Oblivion : Bloody Roar

Bonjour à toutes et à tous ! Les Chroniques Oblivion sont des articles qui vous présenteront, à chaque fois, un jeu ou une série de jeux tombés dans l’oubli. La plupart du temps, ce seront des titres ayant laissé une trace indélébile dans l’histoire du jeu vidéo, à tel point que l’on aimerait bien les voir revenir au devant de la scène. Pour débuter cette chronique, j’ai décidé de vous présenter aujourd’hui, la saga Bloody Roar !

 

 

Bloody Roar, premier du nom, est un jeu de combat sorti initialement en 1997 sur borne d’arcade, puis sur Playstation, vous plongeant dans des joutes sans merci, à travers divers personnages ayant la faculté de se transformer en animaux, tous plus féroces les uns des autres ! Ainsi vous pourrez combattre dans la peau de Yugo le Loup, Gado le Lion ou encore Long le Tigre, et bien d’autres… À l’époque, le studio Hudson Soft tenait là une véritable excellente idée, d’autant plus que ces transformations changeaient les palettes de coups de chaque individus, les rendant également plus forts !

 

 

Par la suite, le titre donna naissance à de nouveaux épisodes comme Bloody Roar 2 toujours sur Playstation, Bloody Roar 3 et 4 sur Playstation 2, ou encore les Bloody Roar Extreme et Primal Fury, respectivement sur Xbox et Nintendo Gamecube. Alors certes les graphismes ne sont pas révolutionnaires, mais pour l’époque, ceux de la saga Bloody Roar étaient très soignés, que ce soit au niveau de la modélisation des personnages, qu’au niveau des effets lumineux. Les combats étaient fluides, rapides et surtout extrêmement nerveux et sanglants. La prise en main exemplaire et immédiate rendait le soft jouissif, vraiment très plaisant notamment en mode Versus.

 

 

C’est avec Bloody Roar 4, sorti sur Playstation 2 en Novembre 2003, que la saga prit malheureusement fin. Il faut savoir que le Studio Hudson Soft fut complètement racheté par Konami en 2011, avant de fermer définitivement ses portes en 2012. Les chances de voir un jour cette licence renaître de ses cendres sont donc infinitésimales, mais ne perdons pas espoir pour autant !

2 commentaires

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Massi

Le 1 avait été une super belle surprise, nouveau pour l’époque et bien nerveux. Il me fait penser à l’époque Rival Schools et autres JV de baston atypique.