Test : Pocket Bravery

Article en partenariat avec Maximum Entertainment, merci pour la confiance et l’intérêt qu’ils portent envers le blog !

– – – – – – – –

⚠️ ATTENTION : Ce test a été réalisé sur la version PlayStation 5 du jeu !

Oi ! Tudo bem ? Soyez le bienvenu sur le mini test de Pocket Bravery, un jeu de combat indépendant, style rétro avec une vibe qui m’a personnellement fait penser Pocket Fighter. Les personnages chibi, le Pixel Art… Le soft est disponible depuis le 10 Avril dernier sur tous les supports. Alors si vous voulez en savoir plus sur le titre, je vous invite à lire la suite de l’article. Préparez le kimono, c’est parti… Fight !

Commençons par le gameplay que j’ai trouvé riche, mais assez difficile à maîtriser. Heureusement qu’en dehors de l’histoire, il existe un mode accessible plus facile à prendre en main, parfait pour moi. Par contre j’ai trouvé l’IA trop sur la défensive… Elle ne fait que reculer pour se protéger et attend de contre-attaquer quasiment tout le temps. Le mode histoire est plutôt bien fichu, même si la difficulté en est parfois trop excessive. Autrement, j’ai apprécié les nombreux modes de jeu, plutôt pas mal pour de l’indépendant.

Personnellement, j’apprécie vraiment les graphismes en Pixel Art, mais je n’ai pas toujours été convaincu par les cinématiques en animé. Les animations sont fluides, et les coups spéciaux sont stylés. Petit clin d’œil aux personnages Daisuke et Hector, que j’adore jouer. J’ai très peu touché au Online, car il y a un manque flagrant de joueurs… Dommage. Le jeu propose même des petits bonus non négligeables, comme du contenu à débloquer ou même une galerie de fanarts !! Si vous êtes en manque d’un petit jeu de combat sympa, vous savez quoi faire ! 😉

 

 

Hype : 62,50 %